Cérébrique

De Cobocratie
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Nous avons à nous acoutumer à une nouvelle évolution sociale humaine. Socrates était opposé à la nouvelle technologie de son époque : l'écriture. Pour lui, la pensée humaine s'en trouverait figée. Platon a montré que ce n'était pas la pensée qui était ainsi rendue durable, mais les idées.

Leibnitz regardant sa bibliothèque a soupiré un jour "mais quand aurais-je le temps de penser ?"

L'évolution actuelle étend l'écrit multiplié par Guthemberg au numérique sur support digital, et pour nous permettre d'accomoder la complexité de la réalité que Poincaré nous a introduite comme cahotiquement déterministe, cd ne sont plus simplement des bésicles qu'il nous faut mais une nébularité (un "neb") cérébrique où l'artificiel complète le somatique naturel.

De nouvelles méthodes de penser, de catégoriser, etc. nous viennent s'appuyant sur l'intégration d'auxilliaires cérébriques nouveau et de leurs mémoires qui étendent notre mnème (ensemble de nos traces mémorielles).

L'on nous donnait à penser par la parole. L'on nous donnait à réflechir par l'écrit. Nous nous donnons maintenant à confléchir ensemble par les cercles sociaux et les diktyologies (ontologies en réseau).


Notre cérébrique en devient une intrication inellectuelle et matérielle où deux sens "nouveaux" viennent à l'ordre du jour :

  • l'inellition : la perception du non-donné par l'intelligence.
  • l'empathie : la simulation interne autonome (cellules miroir) de mouvements externes trop rapides et nombreux.


En 1070, Alvin Toffler avait diagnostiqué la maladie du siècle : le choc du futur, trop de choses nouvelles en trop peu de temps. Nous travaillons à la parade.


Note : dans l'architecture de plus en plus étendue du neb crérbrique de chacun, des points cérébrique de vulnérabilité nouveaux apparaissent qu'il nous fau apprendre à idenifier et à durcir.