Compréhension référentielle de l'UX

De Cobocratie
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Dans cette partie nous allons nous attacher aux perspectives et travaux d'intercompréhension et de modélisation interdisciplinaires de l'UX.

Annotat.png  l'"IoT" sera un phénomène majeur pour l'UX. Le problème posé par l'utilisation du même mot "internet" pour le réseau et sa technologie ne doit pas s'y répéter car il est probable que les objets (et les idées) n'y utilisent pas que la technologie internet, ou du moins la technologie de l'IETF telle que nous la connaissons. Nous différencierons donc le plus possible la technologie de l'"internet des objets" et l'IDONET (inter-digitalité des objets et des ideagrammes en réseaux et en nebs).



Deux approches

Il existe deux approches d'un modèle référentiel de l'UX :

  • un modèle OSI (open system interconnections) réduit au modèle TCP/IP accompagnant le déploiement de l'Internet et les travaux conduits dans le domaine des TIC (technologies de l'information et de la communication) et leur sociologie depuis 1986.
  • le modèle conceptuel OSEX (open system extensions à l'intellition et aux relations) validé par le déploiement du monopole radical en termes de services internationaux public à commutation de paquets (IPSS) et de services réseau étendus jusqu'en 1986 par ses Divisions "Data Network" [Ann et Norman Hardy, La Roy Times] et "Augment" [Doug Engelbart] du groupe Tymshare et le Département "Extended Services" [JFC Morfin] de sa filiale opérateur public Tymnet.


I. Etat des théories selon le paradigme de la théorie des communications

Note 
Toute considération sur l'UX (qui est l'ensemble des conséquences de la mise en réseau des utilisateurs humains à travers la connectique cobotique) est dépendante :
  • de ce que les lois et les langues sont aux hommes ce que les protocoles sont aux machines.
  • ce qui se résume selon l'adage juridique du Dr. Lessig "code is law", bijectivement.
Il ne saurait donc pouvoir être question d'UX sans un égal traitement des mises à niveau informatiques et juridiques en totale réciprocité, sauf à entraîner de graves bugs technicosociétaux. Veiller à cet aspect est un rôle important d'une cobocratie convenablement informée.


=> Nous allons ici tenter de réunir des contributions significatives dans le domaine des théories de l'UX.


  • Le paradigme normatif, dit "OpenStand" sur lequel s’appuient la compréhension stratégique, politique, économique et de Défense de l'internet et de son évolution architecturale, et donc de ses usages et de son utilisation. Il est documenté par la RFC 6852.
Il s'est poursuivi par :
  • la réforme constitutionnelle américaine de l'internet achevée le 1er octobre 2016 (Transition du NTIA, rôle de l'ICANN, NetMundial/Davos)
  • l'adaptation continue de la Gouvernance mondiale de l'Internet.
  • le travail "stakevo" de l'IAB à la suite de la saga Snowden


II. Etat de l'avancée conceptuelle en matière de la théorie des relations

Note
Le modèle (OSEX - Open Systems Extension) a connu un coup d'arrêt brutal en 1986 en raison d'une impressionnante convergence d'intérêts nationaux américains que ses concepts d'apprentisage réseau et d'intellition néguentropique déstabilisaient. Il lui a été substitué une stratégie architecturale dite du "status-quo", s'en tenant à la seule théorie de la communication de Shannon et à une réduction IP/Unix du modèle OSI (Open Systems Interconnection).
Il n'a donc encore jamais été formalisé : l'évolution générale du développement sociétal de l'internet, de la puissance des processeurs, de la bande passante disponible, la capacité logicielle à supporter les modèles "acteur" et "multi-agents" (regroupés sous le concept de nébularité ou "neb"), l'expérience acquise par l'apprentissage profond, la meilleure compréhension de l'UX et l'émergence cobocratique, actuellement observée, donnent à penser que les restrictions qui lui ont été imposées sont en train de se dissiper.


=> nous allons ici tenter de réunir des questions, annotations, modèles sur une théorie de l'intégration homme/machine des échanges généralisés, la technosophie (étude des rapports entre la techne et la sophia) qui en résulte et l'éthitechnique de son développement et de la mise en œuvre de sa gouvernance par les Etats, le secteur privé, la société civile et les organisations internationales (cf. Engagement du Sommet Mondial pour la Société de l'Information) et les retombées pour les opérateurs et les utilisateurs.