Ideagrammes

Le coup d'arrêt de 1986 (stratégie du "statUS-quo")a fait, un temps, oublier que le réseau digital concerne les mouvements digitaux au sein de la digiphère, et que la digitalité peut être le vecteur de nombre d'individus conceptuels numérisables ou non (ex. éléments syntaxique ou sémantiques qui seront codés), passifs (identiques aux deux bouts : datagramme actuel) ou actifs (multiples formes d'évolutions dynamiques).

Deux formes de datagrammes passifs sont sans doute à initialement considérer :

• les intelligrammes : container datagramme au contenu formaté
• les ideagrammes : porteur d'un concept de référence, susceptible de (auto)modification contextuelle ou "climatique" (environnement virtuel).

Il faut également se souvenir que tout datagramme peut être un exécutable (une systèmique opérative autonome, SOA, en anglais un bot, bare operative task) dans un environnent logiciel donné, à la frange ou à l'extérieur du réseau, mais aussi au sein du réseau (OPES, open pluggable edge services).