Remarques préliminaires collectées

De Cobocratie
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Cette section concerne une revue des remarques (sans proposition) spontanées ou collectées  :


  • une singularité s'est passée à la fin du XIXème : c'est la perception de la complexité. Tout ce que nous considérons (pensée, science, droit, relations, méthodologie, etc.) est maintenant devenue "complexe". C'est à dire traitant simultanément un grand nombre de composants de la nébularité considérée.


  • Cette complexité nébulaire est étrangère à la méthode de Descartes bâtie à l'image d'une arithmétique que nous savons incomplète depuis Goëdel (1930) et pour une philosophie que nous avons depuis étendue à la technosophie (sagesse et machines) :
  • Ne recevoir aucune chose pour vraie tant que son esprit ne l'aura clairement et distinctement assimilée préalablement.
  • Diviser chacune des difficultés afin de mieux les examiner et les résoudre.
  • Établir un ordre de pensées, en commençant par les objets les plus simples jusqu'aux plus complexes et divers, et ainsi de les retenir toutes et en ordre.
  • Passer toutes les choses en revue afin de ne rien omettre.
Ceci n'est plus en phase avec un univers que nous avons identifié, face à notre raison, comme chaotique, déterministe et fractal.


  • une grande nouveauté est l'apparition de l'intellition (perception par l'intelligence de ce qui fait sens) assistée par ordinateur. L'utilisation partagée d'un ordinateur intellitif (ex. PRISM de la NSA) n'est pas légiférée. Elle se fait aujourd'hui selon la loi technique ("code is law").


  • Un mandataire est choisi pour ce qu'il sait lui-même et est supposé user à l'avantage de son mandant. Il n'est pas clairement dit dans quelles conditions il peut user à son avantage de ce que son mandant ajoute à son savoir, d'autant que dans un monde complexe ce qui est à son avantage peut indirectement être à celui de son mandant qui peut l'avoir choisie pour la possibilité de cette synergie. Mandataire et mandant sont alors liés par un mandat d'intérêt commun. Celui est quasi requis en politique.


  • La guerre au confusisme. La guerre au terrorisme est une idée de Chirac. Bush, le 11 septembre a pompé son discours d'après le métro Saint-Michel. La réalité est que ce qui nous est opposé n'est pas tant le terrorisme (Thugs, Assassins, IRA, FLN, etc.) ce qui est une vieille technique, mais le confusisme qui est une technique de societal engineering et cybermilitaire nouvelle (comme la cobocratie de l'élection de Macron - cobotiquement assistée : apprentissage profond, médiatique, élélments de langage assistés par ordinateur, etc.). Il ne s'agit pas de savoir si c'est bien ou pas : c'est une des manières de la guerre actuellle (comme l'économie, la standardisation, la dissusion, etc.) Comme les sous-marins, les chars et les gaz en 14 ou les engins de débarquement, les tapis de bombes et l'atome en 45. La question est bien : qu'est-ce que le confusisme, comment s'introduit-il (média, têtes des gens, lois, pratiques) et comment s'en protège-t-on ? Que doit-on faire des confusistes ? Ces gens qui ont mentalement/physiquement/virtuellement débarqué dans notre tissu social quotidien (à mieux analyser par rapport au sol westphalien) pour y tuer la cohérence/cohésion nationale et qui utilisent aussi la terreur et la protection de lois non-encore mises à jour. Il nous faut une doctrine de combat adaptée, Armée/Nation. La suppression du Ministère de la Défense Nationale n'est pas de bonne augure.


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